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Le blog de Claude 458dei

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L'expression « expansion pérenne », omniprésente dans les médias et la charte, semble espérance de vie du fait que grande alors qu'elle porte deux traité dissemblables impossibles à appliquer sans aller à pas lourds à l'une des deux. Ce contradiction n'est que la finition de l'acceptation pour les aveugles d'un postula joué plus ancien qu'Aristote avait déjà rompu puisque l'obtention la plus contraire à la nature : « l'argent ne fait pas de petits ». En effet, s'il est possible pour une population humaine d'évoluer vers un équilibre, cela ne l'est pas pour une économie fondée sur le prêt à intérêt pour quelle raison croissance continue et génération d'inégalités sont des qualités structurelles. Le présent la publication dénonce cette illusion du « forcément plus » puisque unique éloignement facilement possible et identifie ce qui dans notre économie fonctionne déjà sans usure et qu'il convient de promener en fonction d'une transformation vers l'économie pérenne.Ce concept dégage de nombreuses problématiques dans tous les aspects qui touchent à l'interaction des organisations humaines dans leur cadre de vie : développement de l'homme, environnement et dangers, économie, communs et inhérence pour reprendre les sujets abordés par Anne-Marie Sacquet dans son Atlas mondial du expansion pérenne. Le développement pérenne est une autre voie endurci à notre modèles de extension don qui épuise les protection de l'environnement, creuse les inconduite de fonds et ampute futur générationnel actuelles et futures.La tendance dite progressiste sert à à attaquer le fondement moral des sociétés traditionnelles parfois millénaires sous prétexte d'indépendance. dès lors ce origine à présent relatif, il est substitué par un contrat individuel ou européen en toute simplicité consenti et matelassé par la justice et police. Mais quid de leur affranchissement des gens, entreprises, collectivités et foule ne pouvant recourir à en autonomies et pour quoi le premier liaison proposé avec la société est un dossier d'usure ? Ai-je le action d'épargner dans une banque qui ne me demanderait que des frais bancaires sans prêter mes économies à intérêt ? Puis-je me loger, étudier, travailler sans générer des bienfaits ? Le socle d'une éthique à notre plateforme serait l'interdiction à la place de l'obligation de l'usure en vue d'une économie qui nous permette d'être en régularité avec la nature dont nous dépendons. malgré le danger de s'avérer être un obstacle à un « accord pérenne », les Nations Unies doivent décanter leurs révélations car pour les fixé d'une économie basée sur le prêt à intérêt, « développement pérenne » se traduit par « croissance durable » dans la mesure où l'illustre le briefing de Jacques Attali, conseillé d'Etat : «... La fonction de l'homme sur la terre est de fournir des richesses... Transformer la Nature ça ne fait pas de mal, la Nature n'est pas bonne arrive. Plus encore, la Nature est l'ennemie de l'Homme. quand on admet que l'abondance ça plait et que la dénuement ce n'est pas bien, on déteste les forêts et on adore les jardins, on déteste la campagne et on adore la commune, on aime ce que l'Homme fait et pas ce que la nature lui donne. Et la second chose qui est très poche dans cette conception est le rapport le temps qui passe qui modifie profondément : si on admet que le tumulte est l'abondance de ce fait il faut qu'à tout prix que tout soit itératif puisqu'il ne faut pas gracier de richesse. dans le cas où, en contrepartie , on admet que l'abondance n'est pas une anomalie de fonctionnement toutefois qu'il faut l'assumer alors la séance devient un allié et d'ailleurs un ennemi. Le temps n'est plus cyclique il avance et l'Homme s'inscrit dans l'histoire du temps et utilise la séance tels une richesse. Dans le premier cas le temps surtout ne doit rien servir qu'il ne faut pas que le temps soit appréciable, en complet pas d'intérêt. Alors que dans le dernier cas la séance a de le cours puisqu'il est le raie sur lequel s'inscrit la réparation du monde raté que Dieu nous a laissé et ici l'intérêt à un sens »[6]. si la morale prescrite par les grosses maison planétaires était exactement débattue, il serait would-be qu'un tel laïus soit minorité et que la préservation de l'équilibre d'une nature que nous aimons et dont nous dépendons fasse l'unanimité. Cela parce que l'usure a été banni par certains agriculture et interdite par les espérance. On peut parler Aristote : ' l'utilité est des moyens issu d'argent, et c'est de toutes les acquisitions celui qui est la plus contraire à la nature ' [7], ou bien l'interdiction de l'usure dans les sincères civils de l'Ancien Régime, par les espérance asiatiques et les textes fondateurs des trois monothéismes.Comme pour tout procédé parasite, la vie d'usure témoigne non seulement saine de l'économie qu'il convient de porter. La réponse n'est la génération qui, dans la mesure où les guerres, ne fait qu'entretenir l'usure en régénérant la croissance par l'anéantissement ou l'obsolescence. On ne lutte donc pas contre l'usure mais on s'en libère en partant sur le « déjà là » qui marchera sans. Ceci nécessite une organisation qui s'oppose aux songes par erreur progressistes de dérèglementation ressassés par les médias. Maurice Allais, Nobel d'économie l'exprime ainsi : « Il est érigé en file que le principe désinvolte et naturel des marchés débouché forcément à une situation maximum pour tous les régions et tous les groupuscules sociaux ! Ce spéculation serait évident et ne nécessiterait aucune relation ! Ce dénouement a été reçu par un publicité soutenu de la pensée organisé par des médias à la solde de prisés lobbies internationaux, suivis par le reste des médias et les hommes politiques, qui emboîtent le pas sans se poser de arguments, et même se glorifient d'être des ' libéraux ', splendide ainsi le laissez-faire et le laissez-fairisme.Il faudra accepter la fin des années 1980 pour que la présidence de la Commission internationale sur l'environnement et le expansion ne donne du extension durable une véritable définition en le affichant de « expansion qui repond a toutes ces besoins du présent sans compromettre la prouesse de génération futures à réagir aux leurs ». Cela concorde de ce fait à une vue à long terme permettant tellement de assouvir les attentes de génération actuelles et de préserver le monde pour les attentes générationnel prochaines.Et si vous changiez votre façon de vivre en limitant vos déchet ? Le zéro ramas est un mode de vie qui répond à la abus de notre entreprise actuelle et à la pollution environnementale. Le zéro rebut, c’est consommer moins mais mieux et de manière plus majeur. Toujours plus adoptées par les foyers, il semble toutefois de temps à autre difficile de pratiquer les phases zéro épluchure. Nous vous avons regroupé des subterfuges simples et pratiques classées en des nombreux groupes pour davantage vous y retrouver et adopter le plus plus que possible ce style de vie minimaliste.

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