Le blog de Claude 458dei

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La transition énergétique voulue par le gouvernement et par l'union européenne ne se fera pas sans stockage d’énergie, aussi bien à grande échelle qu’au niveau des particuliers. Cette technique est aussi intimement reliée à la mobilité électrique. Cependant, il y a un soucis : évidemment les énergies validés exposent un intérêt environnemental non négligeable et sont considérées comme le futur de la constitution énergétique, mais certaines sont intermittentes. L’éolien dépend du vent, le solaire du soleil. Or, les testeurs n’attendent pas. Il est ainsi primordial de gérer cette production d’énergie, c’est-à-dire de la remplir pour pouvoir l’utiliser lorsque l'on en a besoin. Le stockage d’énergie est ainsi bien l’une des problématiques majeures des énergies renouvelés. La batterie est aujourd’hui la plus utilisée pour remplir l’énergie, mais ce n’est pas la seule. D’autres solutions existent et commencent à émerger.

Aujourd’hui, devenir plus « vert » est une nécessité, plus que jamais. Avec les débuts du Cloud naissait une inquiétude ( légitime ) sur son impact négatif sur le monde, grâce à de la forte consommation énergétique des data centers et des émissions de gaz à effet de serre. Depuis plus de 10 ans, le Cloud s’est en masse pensé et a ainsi fait beaucoup de bruit. Mais saviez-vous que le Cloud n’est pas seulement un levier très technique ou financier ? Il propose aussi des avantages environnementaux en permettant en effet de réduire la consommation d’énergie, les déchets et les diffusions de carbone.

Aujourd’hui, chaque les activités et chaque les opérations peuvent être numérisées et automatisées au moyens des diverses évolutions technologiques. Par conséquent, plusieurs organisations en ont déjà profité pour améliorer leur productivité. Cependant, d’autres entreprises continuent toujours à utiliser uniquement la documentation papier. Si vous faites partie du lot, voici les raisons pour lesquelles vous devez vous passer du papier pour adopter le numérique et ainsi faire des économies tout en protégeant la nature. L’étape la plus évidente pour passer au web dans une entreprise est la dématérialisation des supports. Cette solution consiste à utiliser des équipements technologiques comme des ordinateurs, une plateforme digitale et beaucoup d'autres outils numériques en lieu et place du papier.

Les codeurs ( et leurs clients ) peuvent aussi apporter leur pierre à l’édifice. Cela passe par le développement de sites plus “légers” en se concentrant sur les fonctionnalités nécessaires. ensuite en faisant réaliser des contenus moins gourmands, des images et des vidéos moins lourdes et des contenus plus petits. Supprimer des contenus anciens et en trop peut aussi permettre d’alléger l’empreinte carbone. Côté infrastructures, plusieurs avancés notoires furent faites depuis ces dernières années, notamment suite à un rapport de Greenpeace qui dénonçait l’usage des énergies fossiles pour l’alimentation des data centers. Google, Facebook ou bien encore Apple ont beaucoup investi dans les énergies validés. Plusieurs projets commencent à émerger pour retrouver la chaleur fabriquée par les data centers pour chauffer des batiments mais aussi des piscine extérieure.

Le stockage ne se fait pas tout seul. il est important de l’alimenter en électricité, faire tourner des climatisations en permanence. Selon l’Agence de la nature et de la gestion de l’énergie ( Ademe ), l’envoi des courriers électroniques de toutes entreprises de 100 personnes représente chaque année 14, 6 tonnes de CO2, soit 14 allers-retours Paris - singapore. A l’échelle mondiale, les data centers peuvent être 1, 5 % de la consommation électrique, soit l’équivalent de la fabrication de 30 centrales nucléaires. il convient de donc déjà calculer à l'avance et changer notre comportement concernant le numérique. Les adresses emails poubelles qui reçoivent des tonnes de newsletters, les comptes courier multiples sur lesquels tout est archivé depuis des années et pour lesquels le ménage n’est jamais fait. L’envoi de photos brutes, sorties de l’appareil photo qui pèsent très lourd alors qu’il suffit juste de les ouvrir depuis l’utilitaire de Windows et de les refermer pour qu’elles passent de plusieurs Mega Octets à moins d’un Méga.

Le Cloud n’échappe pas à la législation naturelles. En écologie, la ‘capacité de charge’ est la taille maximum de la population d’un organisme qu’un milieu donné peut supporter. Nul besoin d’être un mathématicien prévenu de façon à repérer qu’avec un taux de croissance exponentiel, la population de serveurs concentrée dans un data center ( ici, le milieu donné ) va rapidement exiger plus de ressources – densité de fibres optiques, électricité, eau, … – que son milieu de pourra communiquer. Cela peut rapidement perturber leur fonctionnement et impacter leur professionnalisme de service. La solution, c’est une politique Cloud intelligente et hybride à l’échelle macro.

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