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Le blog de Claude 458dei

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Expliquer simplement Cloud vert

Texte de référence à propos de Cloud vert

La pollution numérique pourrait passer au-dela de celle de l’industrie aéronautique si nous ne mettons pas en place une utilisation responsable et durable d’internet. Surfer sur la toile a un vrai effet sur la nature. Si l'internet est dématérialisé, ses problèmes sur la planète sont très concrètes. Une simple requête sur un outil de recherche génère 5 à 7 g de CO2. Et plus la pièce jointe d’un e-mail est lourde, plus le message est polluant. Seul à travers notre écran, il est difficile de prendre conscience que nous demeurons des millions de particuliers et de boites à avoir, chaque jour, ce même usage d’internet. Sans parler du développement fulgurant des pays émergents, dû en grande partie à l’accès aux toutes nouvelles avancées technologiques. L’une des majeures causes de la pollution numérique, c’est l'emmagasinement des données clients ( e-mails, vidéos, sites internet… ) dans les centres de données classiques et polluants. Ces masses pharaoniques de données nécessitent d’être stockées sur des serveurs hors norme très énergivores.

Peu de gens connaissent la quantité d’énergie utilisée par un serveur privé tout au long de sa vie. Et cependant ! Il a besoin d’être alimenté en électricité en permanence, d’un système de refroidissement pour éviter toute surchauffe et lorsque le materiel sont en fin de vie, ils deviennent des déchets dont il faut se éliminer, mais qui ne disparaîtront jamais. Le Cloud a relevé le défi de rationaliser et assouplir la gestion des plateformes IT et au passage, de rationnaliser aussi la consommation énergétique pour aller vers le développement solide. Il a ainsi suscite de plus en plus de boites.

Les TIC ( Technologies de l’Information et de la Communication ) font très partie de notre routine qu’elles passeraient quasiment inaperçues ! À la maison, comme au boulot, ces nouvelles pratiques se sont démultipliées et ont évolué complètement nos façons de communiquer, de diffuser de l’information... Les TIC génèrent cependant des impacts négatifs sur la planète ( consommation de matières premières et d’énergie, gestion de déchets souvent dangereux… ). Comment réduire alors ces effets ? Le numérique économique, c’est possible ? Ce n’est pas parce que c’est immatériel que ça n’a pas d’impact dans la réalité. Toutes les étapes du cycle de vie du numérique ont un effet sur l’environnement et la société : l’extraction des ressources nécessaires à la conception de nos appareillages ( dans des pays souvent peu respectueux des droits hommes ), leur industrielle, leur transport, les emplois que nous en avons et enfin leur fin de vie. Si on veut apporter des solutions ciblées, il faut prendre en compte ces 5 étapes du cycle de vie.

L’avantage majeur du cloud computing est qu’il permet d'économiser de l'argent. Au lieu que chaque entreprise possède dans ses locaux son propre Data Center avec les systèmes d’entretien et de refroidissement qu’il demande, une seule grande entreprise gère les données de sa clientèle dans un Data Center géant. En théorie, les taux d’occupation des serveurs physiques du cloud sont mieux optimisés qu’au sein de l'ensemble entreprises. Par exemple, lorsque les sociétés françaises ferment la nuit, la place est utilisée par des entreprises actives de l’autre côté de la planète, de même les activités saisonnières se compensent les unes les autres. La gestion des Data Centers est une question complexe pour les sociétés. Souvent gourmands en énergie, ils font l’objet de l'ensemble les attentions lors de la création d’une politique green IT. Plusieurs solutions existent pour réduire leur effet sur les alentours, le diffusion vers du cloud computing mais aussi la restauration du Data Center interne pour le rendre plus .

Le stockage ne se fait pas tout seul. il correspond de l’alimenter en électricité, faire tourner des climatisations en permanence. Selon l’Agence de l’environnement et de le contrôle de l’énergie ( Ademe ), l’envoi des courriers électroniques d’une entreprise de 100 personnes représente tous les ans 12, 6 tonnes de CO2, soit 14 allers-retours Paris - singapore. A l’échelle mondiale, les data centers s'avère être 1, 5 % de la consommation électrique, soit l’équivalent de la production de 30 centrales nucléaires. il convient de donc déjà calculer à l'avance et changer notre comportement concernant le numérique. Les adresses emails poubelles qui reçoivent des tonnes de newsletters, les comptes fax diverses pour lesquels tout est archivé depuis des années et pour lesquels le ménage n’est jamais fait. L’envoi de photos brutes, sorties de l’appareil photo qui pèsent très lourd alors qu’il suffit juste de les ouvrir depuis l’utilitaire de Windows et de les refermer pour qu’elles passent de plusieurs Mega Octets à moins d’un Méga.

Depuis un bon moment, on définit le terme de Green IT. Intéressons-nous à ce courant de réfléchie qui pourrait s’apparenter à un nouveau buzz word, mais qui pourrait avoir un apport pertinant au secteur l’informatique. Le Green IT, ou sobriété numérique dans la langue française, est un terme qui a été défini plusieurs fois ces dernières années. On lui prête volontier tout un ensemble de valeurs qui entrent plus ou moins dans son giron. Nous évoluons dans un monde qui se transforme. Les plus grandes manifestations actuelles et les plus grandes préoccupations de notre temps devraient se concentrer sur le climat et sa protection. Nous avons aussi un rôle à jouer et cela n'est pas contradictoire avec nos travaux. Tout le monde peut agir à son échelle, et on peut changer les choses. Nous avons à présent accès, grâce au cloud, à énormément de puissance de calcul et d'accumulation, le tout à des prix plus que corrects. Pourtant, ces nouveautés ne sont pas sans problèmes sur notre cadre. Nous devons donc, en tant qu’architecte, les utiliser avec parcimonie. Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités.

Ma source à propos de Cloud vert

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