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Le blog de Claude 458dei

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L’existence d’une révolution industrielle en France, aux normes au modèle anglais ( cf. encadré, p. 20 ), a longtemps relevé de l’évidence. L’introduction du machinisme dans la fabrication industirelle textile, par le biais de la filature* du coton, l’essai du coke* dans les hauts fourneaux*, l'élaboration de machines à vapeur d'eau, pour ne prendre que ces trois critères, donnaient l’assurance que, dans les environs de 1780, les prémices de cette révolution étaient bien installés. en outre, des formes de capitalisme industriel, dont la compagnie minière d’Anzin ( Nord ) était un symbole [1], s’esquissaient dans le royaume. Le taux de croissance industriel - entre 1, 5 % et 2 % par an dans la 2nd moitié du XVIIIe siècle - rapprochait la France de la grande-bretagne qui, partie plus tôt, n’en faisait plus autant.

Au 19e s., l'union européenne et les États-Unis connaissent de grandes transformations financiers et sociales. Stimulés par les avancées techniques, ils s’industrialisent. C’est à cette époque que les chemins de fer ( et les premières locomotives fumantes ) apparaissent, au même titre que voit le jour le télégraphe, le téléphone, et les journaux bon marché qui font circuler plus vite les idées et les nouvelles. La croissance spectaculaire des villes fait de cet âge industriel une époque . La première révolution industrielle est généralement présentée comme le résultat technique accompli à la fin du 18e siècle et au début du 19e s.. Ainsi manifestation et l’amélioration de l'outil à vapeur en 1769, inventée par l’anglais James Watt permet d’actionner d’autres machines et change de façon radicale les méthodes de génération. Cette période marque l’apparition de la mécanisation qui érigera la fabrication industirelle en fondements de la structure économique de la compagnie, se substituant ainsi à l’agriculture. L’extraction massive du charbon couplée à cette nouvelle machine à vapeur d'eau permet d'ajouter à disposition une énergie nouvelle qui permettra de donner une poussée aux réseaux ferroviaires et aux partenariats économiques.

Au XIXe s., les industries textiles, les mines de fer et de charbon, la construction des chemins de fer, connaissent en France un développement considérable. En même temps, la la baisse du nombre des naissances dans la population française et le faible exode rural rendent nécessaire l’emploi d’une main-d’œuvre étrangère, souvent frontalière. Belges, surtout dans le Nord, et ensuite Italiens, notamment dans le Sud-Est et en Lorraine, sont les deux majeures composantes de cette main d’œuvre.

L’industrialisation s'avère également favorisée par un cadre économique favorable. Pour certains historiens, la révolution industrielle est précédée par une révolution agricole lors de laquelle on aurait assisté à l’amélioration des techniques agricoles ( enclosures, meilleure rotation des d'environnement ). L’augmentation des rendements ainsi produite aurait permis à certains propriétaires d’épargner et ensuite d'acquérir. enfin, cette agriculture en se développant aurait été une grosse consommatrice d'objets industriels ( machines agricoles, engrais ). Cependant, il ne faut pas exagérer l’importance de la révolution agricole. Elle aide mais n’explique pas l’industrialisation. Les progrès de l’agriculture aurait permis de nourrir une population en augmentation. il faut ajouter que l'union européenne est alors en pleine transition démographique. Elle passe d’un ancien régime démographique à un nouveau régime démographique en passant par une phase d’augmentation rapide de l’accroissement naturel. Ainsi la population passe de 140 centaines de milliers d’habitants en 1750 à 266 millions en 1850. Cette population nombreuse constitue une main d’œuvre et une demande cruciale pour la manufacture de produit industiel.

La politique industrielle relève principalement de la compétence des Etats membres. La Communauté européenne a toutefois dès les années 1950 limité les utiles d’intervention publique ( assistances d’Etat ) au sein du marché unique, de manière à favoriser la concurrence entre Etats. Avec le renforcement de la compétition dans la décennie 80, la politique industrielle est devenue un enjeu européen de plus en plus grand. Le traité de Maastricht de 1992 en a fait une compétence d’appui de l’Union européenne. Celle-ci peut ainsi intervenir ' pour aider, coordonner ou compléter les actions des pays ' en dans le domaine, à condition que ses actes juridiques ne nécessitent pas d’harmonisation de la loi des Etats.

En dépit de ces quelques changements dans l’univers de la cuisine, il faut dire que c’était surtout pendant le XIXe s. que l’industrie alimentaire a connu une évolution remarquable. Disons même qu’entre les années 1940 et 1970, le quartier a à dompter principalement le champ de l’industrialisation. Du point de vue technique, le congélateur a été employé pour la première fois ; ce qui veut dire l’entrée du monde dans la phase de la surgélation des nourritures. Aussi, le four micro-onde était accessible à tous ; et le fait de se des diner déjà précuits était très recherché. Mais ce qui a aussi été très notoire à cette ère, c’était l’existence nouvelle des additifs alimentaires. Ce qui a permis aux ventes d'obtenir leur summum. Sans oublier que la France faisait partie des commerciales principaux de cette croissance sans équivoque. A côté de tous cela, le goût et les matières premières n’étaient pas les seuls à connaître une bonification ; les techniques sont aussi côtes d’un cran. D’où, l’affichage des dates de péremption et la conception de certains organismes relatifs à l’industrialisation des aliments.


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